Psykup – En vivre libre ou mourir

Psykup En vivre libre ou mourir

Psykup – En vivre libre ou mourir Lyrics

Artist: Psykup
Song: En vivre libre ou mourir

En vivre libre, ça veut dire sauver les meubles
Chaque jour, chaque jour qui dure, dis toi que la terre est meuble
Souvent molle même, et qu’elle n’endure pas les coups
Qu’on encaisse

Dire qu’on nous croit des altesses
Sereine, ici, ma tête est pleine de pensées
De pensées si sombres qu’il faudra en dépenser
De l’énergie, de la matière pour éclairer ces peines, ces ombres

Arrêtez de dire qu’on tombe
Arrêtez de chanter, de pointer l’erreur
Arrêtez, menottez, emballez, bâillonnez ces idées noires, ces heurts
Arriver à l’heure, celle de ceux qui se lèvent tôt

Arranger le bonheur pour qu’il rencontre un jour nos maux (?)
Sans que quiconque
Sans qu’un gros fils en col blanc
Nous corrige les vices, nous oriente l’hélice

Sans qu’un fils de son père vienne faire sa justice
Une musique à risque, il faut que j’immisce
Mettre nos… (?) aux artistes
Y a trop d’argent en jeu

Trop de gens qui jouent leur place en mieux
La survie du gîte
Le choix de l’élite
En joue le public

Toi tu fermes ta gueule et tu joues !
Tu joues, tu la cloues et tu refermes bien la porte en sortant du trou
Ta gueule, je la fais, ta gueule, tu sais, tu la verras
Au Primavera, en couv’ des magazines qui parleront de toi

Avec les pubs qui parleront de toi
Les mômes parleront de toi
Et nous aussi nous parleront de toi
Si les voûtes blessent (?)

Si ton froc tu ne la baisses pas
Si tu ne cesses pas de crier au loup
De dire que c’est mal le grand Capital, le commerce anal
Prends ce t-shirt du Che, tape sur Sarko, tu seras idéal

L’image dégage une certaine forme d’engagement
Celle du mouton sans rage, blanc, qui se peint en noir faisant
Comme si la contestation était une caution, une attestation
Sa politisation, l’artiste est un pion

J’en veux, j’en crève, j’en vis, j’en rage
Tant mieux, j’élève mon rang
Je sers mon camp, mes images
J’en rêve à deux, j’en meurs en cage

Attends, je serre mes pages
Je perds mon temps, je me pends
J’en veux, j’en crève, j’en vis, j’en rage
Tant mieux, j’élève mon rang

Je sers mon camp, mes images
J’en rêve à deux, j’en meurs en cage
Attends, je serre mes pages
Je perds mon temps, je me pends

I’m not economically viable, viable
I’m just a number inferior to one
Near to zero, near to zero
I’m just a piece of sh#t, a made of flesh and bones

Emptied of ego, emptied of ego
I’m not that reliable, reliable
I’m no-ot, I’m no-ah-ah-ah-ah
I’m no-ot, I’m no-ah-ah-ah-ah

Plutôt crever que d’me voir piquer mes plus beaux brevets
Par la Fox ou n’importe quelle industrie
Car à force de respirer vos vapeurs toxiques
Je suffoque, frise l’asphyxie artistique

Quand ces géants gratteurs de ciel polluent nos vies
Je sens que proche est la destruction de notre belle utopie
MC Monsieur, déverseur de fiel
De verset en verset, espérant qu’la tendance puisse être inversée

En vivre libre, c’est un peu comme se passer la corde au cou
En sachant dire « merde » au tenant du titre
En équilibre, envie d’en vivre libre
Au-dessus de tant de précipices en sachant pertinemment qu’il y a la mort en dessous

Je change l’identique par des métamorphoses
Hey les gars, réveillons-nous, il faut qu’on se mette à ce morceau
Qui nous dit que dans quelques temps, je ne ferai pas la quête à Bordeaux
Ou bien que l’un de nous, dans l’oubli, dans la tise, nous divise

Où seront-elles nos devises ?
Quand les fragments de sagesse accumulés jusque là vont calmement disparaître
Si mille caresses et flatteries nous atteignent
Vite, l’arrêt des discutailleries est obligatoire

Plus besoin de justification quand l’émotion brute se fait maîtresse du jeu
Écoute d’abord les déesses, pour peu qu’elles chantent juste
Va savoir qui les dresse, et qu’est-ce qui les rend heureuse
Si tu apprécies le travail, tant mieux tu es réceptif

C’est que tu kiffes les MC chétifs et ballonnés
Et les autruches capricieuses
Et les boucles à la Marcus Miler
Idéales pour du Marc Dorcel videur de stylo ou tapeur de cordes

Défonceur de fûts, screamers ambigus
Tous réunis dans le même but : en vivre libre
Ou même en mourir libre
Comme fit Socrate, quand il but la ciguë

Gare aux plis sur ta panoplie de parodie
De bad boy trop lisse comme Patrick de Carolis
Pour parvenir, très poli, tu pars au lit
Tu bois du liquide séminal, promotion Canopy

On t’affiche, on t’observe, on imprime des posters
De ta cabine pour les gamines qui devant toi se prosternent
On te promène, on te promet des costards et des beaux stades
Des cartes postales et une couronne pour ta grosse tête

Heureus#ment que la merde se mange, heureus#ment que la merde se vend
Manquerait plus que ta mère se vente, ton goût pour l’amère s#mence
Tu voudrais me plaire seulement je te déteste et invers#ment
Tu vends du vent, à chaque vers#ment tu prends du ventre

Ils t’ont arraché les ailes
Tu perds tes bras et ta colonne vertébrale
Les fesses pleines de sperme et de rêve, tu te permets de faire le fier
Oh boy, on t’admire comme un tas de merde

En vivre libre ou en vivre ivre, de strass et de paillettes
Quitte à clamser comme Dodi Al Fayed
J’crois qu’tout est dit
Y a pas plus de vie sur Mars que sur n’importe lequel de tous tes disques

Pendant que tu les brades, les miens je les grave et je les distribue
Pendant que tu joues l’athlète sur le net, ma tête je la dissimule
Pendant que tes ventes et ton compte en banque augmentent, le mien diminue
Ouais salut c’est le… (?)

Vous allez faire un morceau de 10 minutes ?
I’m not basically trustable, trustable
I’m just a man standing on the low floor
Waiting so much more, waiting so much more

I’m just a twenty-first century boy
Fed up with his toys, fed up with his toys
I’m not economically viable, viable
I’m no-ot, I’m no-ah-ah-ah-ah

I’m no-ot, I’m no-ah-ah-ah-ah
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En vivre libre ou mourir Lyrics – English Translation

Living freely means saving furniture
Every day, every day that lasts, tell yourself that the earth is furniture
Often soft even, and that it does not endure the blows
That we take over

Say that we are believed
Serene, here, my head is full of thoughts
Of thoughts so dark that we will have to spend
Energy, matter to light these sorrows, these shadows

Stop saying that we fall
Stop singing, point the error
Stop, handcuff, wander, gag these black ideas, these clashes
Arrive on time, that of those who get up early

Arrange happiness to one day meet our ills (?)
Without anyone
Without a big wire in white collar
Corrects the vices, directs the propeller

Without a son of his father to come and do his justice
Music at risk, I have to interfere
Put our … (?) To artists
There is too much money at stake

Too many people who play their better place
The survival of the gîte
The choice of elite
On the game the audience

You give up your mouth and you play!
You play, you nail it and you close the door well when leaving the hole
Your mouth, I do it, your mouth, you know, you will see it
In Primavera, in cover of magazines that will talk about you

With the pubs that will talk about you
The kids will talk about you
And we will tell us about you too
If the vaults hurt (?)

If your pants you don’t lower it
If you don’t stop shouting with the wolf
To say that it is bad the big capital, the anal trade
Take this Che T-shirt, Tap on Sarko, you will be ideal

The image gives off a certain form of commitment
That of the sheep without rage, white, which is painted in black making
As if the protest was a deposit, a certificate
His politicization, the artist is a pawn

I want it, I die, I live, I rage
So much the better, I raise my rank
I use my camp, my images
I dream of it, I die in a cage

Wait, I’m tightening my pages
I waste my time, I hang myself
I want it, I die, I live, I rage
So much the better, I raise my rank

I use my camp, my images
I dream of it, I die in a cage
Wait, I’m tightening my pages
I waste my time, I hang myself

I’m not economicly viable, viable
I’m just a number inferior to one
Near to Zero, Near to Zero
I’m just a piece of sh#t, a made of flesh and bones

Empied of ego, Empied of ego
I’m not that Reliable, Reliable
I’m no-ot, n no-ah-ah-ah-ah-ah
I’m no-ot, n no-ah-ah-ah-ah-ah

Rather die than seeing me sting my most beautiful patents
By Fox or any industry
Because by dint of breathing your toxic vapors
I suffocate, borders on artistic asphyxiation

When these giants of sky plugs our lives
I feel that close is the destruction of our beautiful utopia
Mc sir, fliel pourneur
From verse to verse, hoping that the trend can be reversed

Living it free is a bit like leaving the rope around the neck
Knowing how to say “shit” to the title holder
In balance, want to live free from it
Above so many precipices knowing full well that there is death below

I change the identical by metamorphoses
Hey guys, let’s wake up, we have to put ourselves on this song
Who tells us that in a while, I will not do the quest in Bordeaux
Or that one of us, in oblivion, in tise, divides us

Where will they be our currencies?
When the fragments of wisdom accumulated so far will calmly disappear
If a thousand caresses and flattery reach us
Quickly, stopping discussions is compulsory

No need for justification when the raw emotion becomes the mistress of the game
First listen to the goddesses, as long as they sing just
Go know who pits them, and what makes them happy
If you appreciate the work, so much the better you are receptive

You are that you like the chestnut and bloated Mc
And capricious ostriches
And the Marcus Miler loops
Ideal for marc dorcel pen videler or string tape

Drum of barrels, ambiguous screamers
All gathered for the same purpose: to live free from it
Or even die free
As Socrates did, when he turned to the hemmanship

Beware of folds on your Parodie de Parody
Bad boy too smooth like Patrick de Carolis
To reach, very polite, you go to bed
You drink seminal fluid, Canopy promotion

We display you, we observe you, we print posters
Of your cabin for the kids who have ahead
We walk you, we promise you suit and beautiful stadiums
Postcards and a crown for your big head

Fortunately, sh#t is eaten, fortunately the sh#t sells
Would miss more than your mother sells, your taste for bitter seeds
You would like to please me only I hate you and vice versa
You sell wind, with each payment you take from the belly

They torn off your wings
You lose your arms and your spine
Buttocks full of c#m and dream, you allow yourself to be proud
Oh boy, we admire you like a bunch of sh#t

Live freely or live it drunk, rhinestones and glitter
Even if it means clamiting like Dodi Al
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Psykup Lyrics – En vivre libre ou mourir

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Release Year: 2008